Pour trouver un acquéreur sérieux et intéressé par son bien immobilier, un vendeur a tout intérêt à soigner le dossier de diagnostic technique (DDT) transmis. Ce DDT, dont le contenu est encadré par la loi, permet d’informer l’acheteur sur les caractéristiques du bien qu’il convoite et de le rassurer sur le sérieux du vendeur. Ce dernier est d’ailleurs responsable de l’exactitude et de l’exhaustivité des informations transmises. Une erreur ou une omission sont ainsi susceptibles de mettre en difficulté la vente immobilière.
Le vendeur peut être contraint de baisser le prix demandé, de renoncer à la vente ou, une fois la transaction conclue, être l’objet d’une plainte pour vice caché. Mais quels sont les diagnostics immobiliers à fournir ? Quel que soit le logement vendu, le DPE est indispensable. L’obligation d’ajouter d’autres pièces au DDT dépend à la fois des spécificités du bien et de son adresse. Les diagnostics risques, termites, bruits, gaz, électricité, amiante, assainissement ou plomb et le métrage loi Carrez peuvent ainsi être obligatoires.
De plus, la plupart de ces diagnostics ne sont valides que s’ils ont été effectués par un professionnel certifié. Le recours à un diagnostiqueur est donc la meilleure solution pour un vendeur s’il veut connaître avec exactitude les diagnostics immobiliers nécessaires à la cession de son bien et obtenir des documents de qualité. Pour des diagnostics immobiliers qui vous permettent de vendre vite votre propriété au prix voulu, faites appel à nos services.